04/01/2020
Tarzanides du grenier n° 394
OLIVER n’est qu’une BD en petit format de poche éditée par IMPÉRIA à partir du 25 février 1958. Nous la disons banale pour ne pas avoir à la dégrader jusqu’à la médiocrité. IMPÉRIA eut souvent la main plus heureuse mais pas avec ce titre qui n’est qu’un démarquage chétif de Robin des Bois.
Le BDM indique 456 numéros parus quand des collectionneurs portent le total jusqu’à 471. Doc Jivaro se suffit de savoir que cette publication cessa pendant l’année 1985. Aussi préfère-t’il se rappeler que deux versions en bandes dessinées de ce personnage existèrent dans l’hebdomadaire TARZAN, toutes deux dessinées par Souriau. La première débuta en noir sur blanc dans le numéro 54 du 23-09-1947 alors que la seconde, moins conforme à la saga du héros de Nottingham n’allait commencer qu’en 1953, le 28 mars ; mais tout-en-couleurs mes enfants !
A coup sûr Doc Jivaro vous en reparlera dans l’une de ses prochaines rubriques plus ou moins improvisées.
Doc Jivaro
17:05 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Montluçon, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : oliver 1958, editeur impéria, souriau, tarzan, robin-des-bois, bandes dessinées de collection, doc jivaro, bar zing de montluçon, tarzanides du grenier
30/12/2019
30 décembre 2019, simplement
BAR ZING
EXISTE DEPUIS DIX ANS.
DOIT-IL ENCORE VIEILLIR
D’UNE ANNÉE ?
DEMAIN OU APRÈS DEMAIN
LA RÉPONSE APPARAÎTRA.
DOC JIVARO
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27/12/2019
Tarzanides du grenier n° 393
RE-CASTAGNE
C’est dans le numéro 279 du 17 janvier 1957 que les jeunes lecteurs de SPIROU applaudirent la grande, très grande colère du Marsupilami. Un évènement dans l’Histoire de la BD Franco-Belge : Eh oui ! Robert Velter le créateur de SPIROU était de nationalité française.
Les collectionneurs trouvent dans la reliure cartonnée n° 60 de SPIROU les premiers exploits de l’animal qui ne manqua pas de s’attirer des remontrances "bien pensantes" à cause de son comportement extravagant. Et c’est dans cette même reliure n° 60 que l’on peut assister à la toute première apparition d’un certain GASTON LAGAFFE (Hebdomadaire n° 985 du 28 février 1957).
Le futur héros sans emploi porte un nœud papillon, un veston et des chaussures cirées comme pour tromper son employeur éventuel ... Ce ne sera que deux semaines plus tard qu’il s’affichera sous une allure désinvolte : assis de travers sur une chaise et allumant une cigarette dont il ne gardera bientôt plus que le mégot au bec.
Rappelons que Franquin fut accompagné d’un certain J.D.M. lorsqu’il esquissa les premiers aspects de Gaston ; et que JIDÉHEM faillit bien être le seul héritier du personnage dont la popularité peut presque devenir proverbiale.
Aucun d’entre-nous n’étant immortel JDM nous a définitivement quitté le 30 avril 2017.
Doc Jivaro
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26/12/2019
Tarzanides n° 392
CASTAGNE
- Regardez bien. Vous le reconnaissez ?
- Qui ça ? … Le petit bonhomme chauve et brun dans un gilet vert ?
- N’faites pas semblant de ne pas comprendre : Vous avez reconnu SPIROU. Le vrai Spirou, celui de ses débuts lorsque Franquin relayant Jijé en faisait un bagarreur de première classe.
Ce Spirou « jeux de mains, jeux de vilains » date de 1947. Précisément le 24 avril de l’année. A ce moment là le scénariste et le dessinateur disposaient d’une liberté d’interprétation à laquelle ils durent renoncer pour ne pas se faire couper leurs vingts doigts par les ciseaux d'Anastasie la censeure. Remarquez bien, Commissaire Maigret, que presque tous les ingrédients d'une série noire s'y rencontrent : la cigarette, le whisky et qu’il ne manque guère que les petites pépées.
Quelque trois années plus tard, en 1950, c’est le MARSUPILAMI qui héritera de la violence avec laquelle autrefois SPIROU maltraitait ses adversaires les plus dangereux.
Hélas ! finalement, à son tour, le faramineux marsupial perdra son agressivité native pour devenir indulgent comme un Tintin dont les deux mains ne se ferment jamais en deux poings capables de mettre K.O. l’ennemi.
Pauvre marsupilami ! Il ne lui reste plus qu’à servir de porte-bonheur, c’est à dire de fétiche protecteur en latex sur le tableau de bord d’une 203 ou d'une 2 CV, celle ci toujours pilotée par la fille Seccotine. Oui, souvenez-vous : Seccotine était la jeune journaliste qui découvrit notre inattendu marsupial dans les forêts vierges de Palombie
Doc Jivaro
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21/12/2019
Tarzanides du grenier
DOC JIVARO
DONNE RENDEZ-VOUS
LUNDI 23 DÉCEMBRE
17:54 Publié dans Arts, BD, BD anciennes, Blog, Dessin humoristique, Fanzine, Grenier de la BD, Journaux, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : doc jivaro, tarzanides du grenier, bar zing de montluçon, bandes dessinées de collection
19/12/2019
En marge de nos problèmes sociaux
STAR WARS :
ANNONCE DU DERNIER ÉPISODE
BAR ZING :
BIENTÔT LE FINAL ?
Croyez le ou pas, Doc Jivaro n’a jamais assisté à l’un des épisodes de votre STAR WARS. Tout au plus à t’il entrevu sur son écran de TV quelques bonhommes agitant des tubes de néon décrochés d’un plafond. Ce que les fanas du genre nomment des sabres-laser.
De tels machins à faire des moulinets payés à grands coups de dollars, auront toujours devant Bar Zing moins d’importance que le bâton taillé dans un noisetier dont il se servait pour se frayer un passage à travers un groupe d’oies dans le sentier qu’il empruntait pour accéder au cimetière de Parsac en Creuse.
- Et qu’allait-il faire votre Bar Zing dans un cimetière alors qu’il n’était qu’un gamin de six ou sept ans ?
- Il allait, ne vous en déplaise, changer l’eau de trois ou quatre vases dans lesquels l’une de ses deux grand-mères avait mis des fleurs coupées. Oui, c’était ainsi chez les barbares d’hier : les morts se reposaient dans un grand jardin fleuri tout à côté du potager des vivants.
Ryal
15:14 Publié dans Actualité, Blog, Cinéma, Media, Tarzanides | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : star wars, geoges lucas, saga galaxies, la force est en toi, bar zing de montluçon, parsac en creuse